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Encyclopédie collègienne

6 juin 2006

CHAPITRE IV: Les intellos

Qualité : Très très intelligent.
Défaut : Anti-Social, répulsif.

L’espèce des intellos est une espèce très particulière et très singulière. Les individus de cette espèce ne se déplacent que seuls ou à deux avec un autre congénère : l’intello n’est pas réputé pour avoir des amis ! Et oui c’est ça le grand défaut d’être intelligent ! Les autres espèces ne comprennent pas ce qui se passe dans le cerveau des intellos (en particulier les racailles, les moules et autres mollusques)… celles-ci voient les intellos comme des habitants de Pétaouchnock ! Comme ils ne les comprennent pas, ils les insultes, leurs lancent des cailloux (et oui, vous l’aurez compris, l’intelligence des racailles n’est très développée) ! Tout ça donc pour quelque chose qu’ils ne comprennent pas !
On rencontre souvent un intello seul au CDI ou en salle d’étude en train de réviser diverses matières tout aussi passionnantes* les unes que les autres…

Coté physique maintenant : L’intello est toujours vêtu short, même en hiver ! Ses grandes chaussettes blanches remontées jusqu’au genoux et rangées dans des petites sandalettes ! Et oui c’est pour ça que l’intello n’a pas besoin de pantalon : chaussette jusqu’au genoux + short jusqu’au genoux = Pantalon pas cher ! Et oui, l’esprit l’intello est toujours en train de calculer ! Contrairement aux idées reçues, les grandes lunettes rondes sont en option, même si elles sont fréquemment utilisées !
Son front est très grand comme si il avait été conçu pour mieux capter les informations. L’intello n’est pas une beauté fatale, mais suffisamment quand même pour que plus tard il une femme, 10 ou 12 marmots, un job chez IBM et de quoi vivre pour ne pas aller à Emmaüs plus de deux fois par semaine.

Abordons maintenant le sujet de ses ennemis, car oui, l’intello à beaucoup d’ennemis ! En gros tout ceux qui ont un QI inférieur au sien sont des ennemis. Donc tout le monde. Mais pourquoi ? Eh bien essayons de voir quel est le lien logique entre QI et ennemis. Prenons le 1er exemple dans la tête d’un intello : QI inférieur = con = ne sait pas parler = use toujours la violence à la place de la parole = ennemi potentiel. Maintenant 2ème exemple mais dans la tête d’un ennemi : QI supérieur = intelligent = on comprend rien à ce qui dit (voir premier paragraphe) = ennemi ! Celui-ci n’hésite pas alors à le lacérer ou à lui enfoncer la tête dans les chiottes afin de se sentir supérieur.
Sentimentalement l’intello est en retard …très en retard. Il ne s’intéresse aux filles qu’à sa majorité, après 32 ans (âge du premier bisou à 30 ans le plus souvent en cachette des parents) donc nous n’avons pas lieu d’en parler ici. Mais en cas d’exception, car exception il y a, les intellos se reproduisent entre-eux et parviennent même jusqu’à se faire des bisous sur la joue deux fois par jour !!!

*vous y avez cru hein ?

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3 juin 2006

Le CDI

Le CDI est un endroit de savoir, de rencontre, d’échange, de bonheur mais aussi…d’emmerde.
Il y a presque toujours une documentaliste normal et autre un peu tordu/ miro/bouché/pété/jouli… Bref une documentaliste qui sort un peu, voir beaucoup du commun ! Dans le CDI, on retrouve trois espèces dominante :
-Les intellos
-Les dessinateur de la classe des artistes incompris                                                                                               
-Les racailles                                                                                        
                                                                                                                            
Commençons à parler de la présence de cette première catégorie au CDI. Les intellos se mettent toujours seuls sur une table juste devant la documentaliste pour bien se faire voir. Il étudies la science, la nature, les maths, et tout plein de trucs que les incultes ne peuvent pas connaître. Ils ne font pas de bruit, et empruntent souvent des volumes de 300 pages sur la sexualité des mouches asiatiques pendant l’hiver ou encore sur la disparition des moutons cyclope au Birkizthan.

Passons maintenant à la deuxième catégorie qui ont élus domicile au CDI : le dessinateur. Il se met au milieu de la salle, avec des amis à qui il peut montrer ses créations et leurs demander conseils. Et là il gratte, gratte pendant toute l’heure jusqu’à ce que, en manque d’inspirations il s’arrête. Et là, la documentaliste à peu près normal viens le voir avec une pile bouquins sur le dessins tout pourri. Le dessinateur cherche tant bien que mal à trouver un truc intéressant pour ne pas vexer la documentaliste en refusant. Finalement, il déniche un ouvrage qui date de Mathusalem ou l’on peut apprendre à dessiner un cochon en trois étapes. Le dessinateur remercie gentiment la documentaliste et essaie de dessiner le cochon mais bon trois étapes... Le son de la cloche est sa bénédiction.

Et pour finir, la dernière catégorie de scouateurs : les racailles. Et oui, on se demandent se qu’ils font là, et bien et ils ne sont sûrement pas là pour bouquiner, vous vous en doutez bien ! Non, ils sont là pour faire chier le monde. Ils se ramènent en bande dans le CDI et s’installent dans le fond en virant les plus petits de leurs places. Et oui, c’est la loi du plus fort (ou du plus con, à vous de voir) ! De là, ils commencent à insulter tout le monde (surtout le PSG), à chanter des chansons pas chrétiennes et à foutre le bordel (dans toutes les significations de se définition). Au bout d’un moment, la documentaliste pas normal commence à les insulter et en reçoit le triple dans le dos. Elle appelle un pion, deux, trois…aucun effet. Finalement, il n’y a que le proviseur accompagné d’une armée de pion qui arrivera à les délogés. Elles ont du mal à bouger ces sales bêtes !

Bref, une heure au CDI est généralement une heure de calme et de repos pour tous !

3 juin 2006

CHAPITRE II : Les kikoos

Qualités : gentille, parfois jolie (hum, hum)

Défauts : un sérieux manque de discernement, limite niaise, parfois complément fanatique.

 

 Il est aisé d’observer cette espèce de nos jours très répandue. En effet, cette espèce essentiellement composée de femelle aux couleurs chatoyantes (principalement du rose !) prolifère rapidement. A la fois victime de la société de consommation et victime de la société tout court, la kikoo ère aussi bien dans la cours de récréation que dans les couloirs ou dans le réfectoire en meute. Nous ne sommes pas encore parvenue à observer une kikoo solitaire; se déplace –t-elles en bande par crainte du monde qui l’entoure ou bien simplement pour pouvoir chasser plus aisément ?

Car en effet, la kikoo est une grande chasseuse et aucun mâle ne lui résiste (ou presque aucun car il y a bien des exceptions). Il suffit à la troupe d’encercler la proie et de la coller jusqu’à se qu’elle cède.

Les kikoos ont un langage tout aussi particulier que cette technique de chasse, aussi bien sur le plan oral que écrit. En effet, son langage écrit se rapproche du langage « sms » aussi appelé « langage primitif» composé d’abréviation tordues, et de logos incompréhensible. Par exemple la phrase : « slt ks tu fé la? lol » peut se traduire par « bonjour mon cher ami, à quoi emploies tu ton temps en se moment ? Drôle, n’est-ce pas ? ». Nous croyons inutile de vous préciser que l’orthographe est inexistante dans leur culture. Au niveau oral, les kikoos vous assomme de résumé d’épisodes de séries américaines (ex. : les frères Scott, Summerland, Un Dos Tres…) et d’épisodes de Dora l’exploratrice avant de vous achever à coup de cris horripilants.

Les kikoos fréquentent, enfin, scouatent les centres commerciaux pour profiter des soldes ou des derniers prix cassés. Elles en profitent pour trouver des nouvelles proies pour leurs tableaux de chasse. Mais entre temps, elle lisent des magazines de mode ou people (ex : Voici, Closer, Elle, Marie Claire, Femme actuelle…)

Mais le pire c’est quand elles monopolisent la salle de bains le matin. Elles se peignent le visage de couleurs flachi pour faire plus mieux classe, elles passent leurs temps sur la balance, et à faire des régimes à base de plantes et de racines.

Pour terminer sur les kikoos, celles-ci sont d’un naturel sympathique et assez calme (sauf exception). Elles aiment tout le monde et le disent (« t gnial, jtdr » ou « tu es génial, je t’adore »).

 

 

Sentimentalement : nous vous l’avons déjà dit, la kikoo est une chasseuse qui sélectionne ses proies dans une logique terrible connu de elle seul ! Mais comme nous sommes de éminents chercheurs (nous ? nous auto congratuler ? …jamais !!), nous avons réussi à nos risques et périls à découvrir leurs techniques de chasses !

Elle choisisse généralement des mecs mignons pas trop intello, parce que sinon elles se sentiraient inférieur à leur proie (voir racaille ou mollusque). Après cette sélection, elles attaquent en meutes comme cités plus haut. Donc après avoir formé un cercle autour de leur proie, les kikoos l'assaillent de questions, s'agitant dans leurs vêtements de marque. Et après quelques semaines passées à le coller, où qu’il aille, ventant son ego et sa virilité (oui, les racailles aiment ça !), la proie finie par céder. La kikoo peut ainsi passer quelques semaine à lui lécher la glotte avant de chercher une autre proie.

3 juin 2006

CHAPITRE I: Les artistes incompris


Qualité : doté d’un talent artistique particulier et humaniste

Défaut : paraît antisocial (voir taré), naïf

Assez ouvert sur les autres, l’artiste incompris peut paraître antisociale quand on le connaît peu. Il se déplace en meute de 5 congénères ou moins, mais pas plus ! Un groupe plus important serait trop voyant. Il aime passer son temps à exercer son talent artistique et à rire en compagnie de ce cercle d’amis.

En effet, l’artiste incompris aime que les personnes qui l’entourent aient une bonne culture (le minimum étant de lire des bandes dessinées et de connaître des génériques de dessin animés) et apprécient son talent.

Bien sûr , il cède parfois à quelques excès d’orgueil quand ses œuvres ne sont pas reconnues à leur juste valeur car il pense que cela le démarque des autre et le place à un haut rang dans la bande.

On distingue plusieurs sortes d’artistes incompris :

-les musiciens, plus rayonnants, plus orgueilleux. Ils aiment à parader en compagnie de l’instrument de leur succès devant toute la horde pour montrer leur supériorité. Ils se regroupent parfois en troupe pour pouvoir se faire l’honneur de partager leur « virtuosité » et en faire profiter le plus grand nombre de gens possible.

-les dessinateur, un peu moins rayonnants mais charismatiques. On les repère assez facilement en observant une classe. En effet, les dessinateurs présentent en permanence le sommet de leur crâne aux professeurs, étant penchés sur un bout de papier, dans une concentration extrême, à la limite de la sueur. Une fois leur œuvre terminé, ils s’empressent d’en faire profiter le maximum de monde en faisant circuler l’objet. Mais nous auront peut-être un approfondissement sur cette espèce dans un prochain chapitre …

-les jongleurs, discrets et intelligents, mais très orgueilleux. Le jongleur, malgré sa discrétion naturelle, est toujours entouré d’une horde de groupies captant ses moindres gestes. Plus sont talent est élevé ,moins il est orgueilleux (et vice versa).

Sentimentalement : l’artiste incompris aime les belles choses et est toujours à la recherche de l’être parfait (en particulier le dessinateur mâle)  aime à roder autour de ses jeunes proies au physique avantageux. Sa technique de chasse est très particulière : une fois sa proie repéré il l’amadoue en lui donnant des joulis dessins, ou en lui composant diverses sérénades et quand le moment est propice, il attaque ! (Parfois, il n’y a jamais de moment propice)

Ses ennemis : L’ennemi naturel de l’artiste incompris est la racaille (espèce qui sera évoqué plus tard) ! La racaille le guète à la sortie, dans les couloirs, au CDI, en permanence… La racaille le suit partout et pour une seul raison : lui extorquer un dessin érotique ! (Ou lui piquer son goûter)

3 juin 2006

Collègiopédie: introduction

Les collèges sont des environnement naturels très peuplés... en effet, on parvient à distinguer des trentaines d'espèces dans certains établissement .

Mon éminent collègue ,le professeur maximinus, et moi même nous sommes immèrgé dans cette jungle pendant plus de deux ans pour créer cette encyclopédie répèrtoriant les différentes espèces la peuplant.

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